Il y a un an, la France mettait en place son premier confinement mettant en péril les activités touristiques, les voyages et autres secteurs. C’est une crise économique pour les professionnels du tourisme. L’écho touristique revient sur ces douze mois à l’occasion de cet anniversaire.
Début de la pandémie en 2020
Pour essayer de limiter la propagation de la COVID-19, Wuhan se voit sous la cloche à partir du 23 janvier. Par les suites, ce sont les moyens de transport qui seront suspendus par les autorités administratifs
Les destinations vers la région de Wuhan ne sont plus autorisées. Après la décision, le Quai d’Orsay recommande un report de tout déplacement dans la région. Par la suite, des contrôles dans les aéroports sont mis en place par plusieurs pays. L’inquiétude monte avec la propagation rapide du virus. Il a atteint plusieurs continents en quelques jours. Il est déclaré une urgence de santé publique par l’OMS le 30 janvier.
La France entre en confinement à partir du 17 mars à 12h 00 précise. Les frontières de l’Union Européennes sont au même moment fermées. Il s’agit d’une décision commune des pays membres de la communauté. La conséquence est que les gouvernements organisent des rapatriements de 130 000 français et le Seto prolonge les voyages au 30 avril.
Un possible retour à la normale
L’Union Européenne envisage un certificat sanitaire européen qu’elle espère pouvoir mettre en circulation avant juin en vue de sauver la saison du festival. Le gouvernement, en concertation avec les organisations du secteur prépare la réouverture en trois phases des cafés et des restaurants. La date n’est pas encore mentionnée.
Néanmoins, on sait que la réouverture est soumise à deux indicateurs : Celui du nombre de personnes vaccinées et celui du nombre de cas enregistré par jour.
La première phase qui consiste à rouvrir les restaurants d’hôtels permettra aux prestataires de recevoir leurs clients dans la salle pour qu’ils prennent leur petit déjeuner. La seconde phase consistera à rouvrir les terrasses des cafés et des restaurants en utilisant 50% de leur capacité d’accueil. La dernière phase consistera à la réouverture complète des établissements, mais toujours en respectant le protocole sanitaire d’octobre passé.